Choisir sa première distribution Linux

Comment choisir une distribution Linux ?

Pour les utilisateurs expérimentés la question ne se pose généralement pas. Ils ont leurs habitudes et quand ils en changent ils savent généralement pourquoi, et savent précisément quoi regarder pour choisir un candidat adapté à la situation.

Mais les quelque 250 distributions que référence distrowatch a largement de quoi perdre les nouveaux venus.

Trop de choix tue le choix

Les environnements Windows et Mac OS offrent finalement peu de choix à l’utilisateur.

Microsoft propose aujourd’hui trois systèmes (Windows 7, 8 et 10) qui proposent des expériences utilisateurs un peu différentes, le tout disponible en plusieurs variantes suivant le niveau d’option souhaité. Apple présentant une unique alternative à la quelle on adhère … ou non. Même si on gagne quelques options de configuration depuis la disparition du gourou monomaniaque de la pomme.

Alors quand on a plusieurs centaines de systèmes, possédant eux-mêmes plusieurs dizaines d’environnements de bureaux … ça fait beaucoup.

Deux cas typiques des débutants se démarquent alors :

  • Essayer de tester de nombreuses distributions, mais sans jamais vraiment en explorer une et apprendre à correctement l’utiliser
  • Essayer une petite distribution marrante / prometteuse / spécialisé / révolutionnaire, qui aura une faible communauté et un support limité et parfois incertains

Restez simple

Prenez une grande distribution connue (Ubuntu, Mint, Debian, Open SUSE ou Fedora), qui fonctionne correctement sur votre matériel, et restez y le temps de découvrir

Toutes ces distributions ont énormément de point commun, et ce que vous apprendrez sur l’une d’elle sera applicable sur une autre si, à l’usage, votre premier choix ne vous convenais pas.

Les différentes associations d’utilisateurs de distributions Gnu/Linux, tel que LoLiCA, pourrons facilement vous conseiller plus précisément sur ce premier choix qui semble toujours plus délicat qu’il ne l’est réellement.
N’hésitez pas à prendre contact ou à venir nous rencontrer.

Note : Cet article est une reprise (avec son accord) de l’article de l’un de nos membre